Chantal Brunel

Votre Députée sur France 5 !

 
Chantal Brunel était l'invitée de Paul Amar dans le cadre de l'émission "Revu et corrigé" diffusée en direct sur France 5 le samedi 12 mars, de 19h00 à 20h35.

Voir l'émission (avancer à 13minutes).

Tempête médiatique sur mes déclarations

J'ai exprimé publiquement mes regrets sur la forme utilisée. En fait, j'avais exprimé clairement ma position auprès d'un journaliste mais j'ai utilisé un raccourci facheux vis-à-vis d'un autre et c'est cette version qui a été médiatisée. Sur le fond je maintiens:

-que nous ne pouvons accueillir des personnes à qui l'on ne peut proposer ni logement, ni travail,

-qu'il est irresponsable de fermer les yeux sur l'odieux trafic des passeurs.

A ce jour, j'ai reçu plus de 1300 messages de soutien (lettres, téléphones, mails). Je vous remercie de tout coeur et je publie ci-après un extrait de la lettre de Michel Geres, Maire de Croissy-Beaubourg:

Lettre de soutien M. Geres

Agenda de la semaine du 14 au 20 mars 2011

Ø

Voici quelques éléments indicatifs sur mon agenda de la semaine prochaine.

Chantal Brunel s'explique au Grand Journal de Canal Plus

 

Chantal Brunel était l'invitée du Grand Journal, en direct sur Canal Plus, mercredi soir entre 19h05 et 20h, pour un débat avec Harlem Désir, Député Européen (PS).

Voir la vidéo (partie 1 et partie 2).

Immigration clandestine: ma réaction

Mes propos liés à l'immigration clandestine issue des pays de la Méditerranée, prononcés à l'Assemblée Nationale,  ont fait l'objet d'un raccourci. Toutefois, le sens de mes paroles ne change pas: la France n'est pas en mesure d'accueillir le flux d'immigrés clandestins issu de la rive sud de la Mediterranée, et l'Europe doit au plus vite trouver une solution concertée avec l'Italie afin que ces populations soient reconduites dans leur pays dans les meilleures conditions possibles. En aucun cas je n'ai voulu signifier que ces clandestins repartent chez eux sur les mêmes bateaux, ces bateaux sur lesquels ils risquent à chaque instant leur vie. Mais je le dis clairement: ils doivent cependant faire l'objet d'une procédure de rétention suivie d'une reconduction aux frontières de leur pays d'origine. Nous devons accélérer les délais des procédures juridiques.

Cessons de nous voiler la face: la France ne peut accueillir délibérément des populations à qui elle n'a - en fin de comptes et malheureusement - rien à offrir.