A la veille des examens de ce second semestre de l'année universitaire, les artisans des nombreux blocages sont bien obligés de constater les conséquences de leurs actions.
En effet, par la faute d'une minorité de bloqueurs qui ont privé de cours la majorité de leurs collègues étudiants, ces derniers, outre la charge supplémentaire de travail que l'absence de cours suscite, sont exposés au risque que leur année de diplomation soit pour de nombreuses années à suivre synonyme de "diplômes bradés".
Aussi tenais-je à condamner l'attitude de cette "minorité agissante"- dont je constate qu'elle est soutenue par un large nombre de professeurs qui semblent faire prévaloir leur intérêt sur celui de leurs élèves - et rappeler à ces quelques individus que c'est avant tout à leurs collègues étudiants qu'ils devront tôt ou tard rendre des comptes: qui sème le vent...
A ceux qui plaident que le Gouvernement ne fait rien, je voudrais enfin leur rappeler que les forces de police ne peuvent intervenir pour rétablir les cours et le bon déroulement des examens que sur demande du Président d'université.
En effet, par la faute d'une minorité de bloqueurs qui ont privé de cours la majorité de leurs collègues étudiants, ces derniers, outre la charge supplémentaire de travail que l'absence de cours suscite, sont exposés au risque que leur année de diplomation soit pour de nombreuses années à suivre synonyme de "diplômes bradés".
Aussi tenais-je à condamner l'attitude de cette "minorité agissante"- dont je constate qu'elle est soutenue par un large nombre de professeurs qui semblent faire prévaloir leur intérêt sur celui de leurs élèves - et rappeler à ces quelques individus que c'est avant tout à leurs collègues étudiants qu'ils devront tôt ou tard rendre des comptes: qui sème le vent...
A ceux qui plaident que le Gouvernement ne fait rien, je voudrais enfin leur rappeler que les forces de police ne peuvent intervenir pour rétablir les cours et le bon déroulement des examens que sur demande du Président d'université.
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