Vendredi dernier, Khadafi promettait "l'enfer" à ceux qui s'attaqueraient à son pays. Quelques temps plus tard, il annonce le cessez-le-feu de l'armée libyenne après plus d'un mois d'acharnement sanguinaire contre révolutionnaires et civils.
Bien qu'une telle annonce doive être prise avec mesure et prudence, j'y vois la conséquence directe de la décision du Conseil de Sécurité de l'ONU qui, sous l'impulsion déterminante de la France, a autorisé une intervention militaire sur le sol lybien.
Je me réjouis que les principales puissances européennes aient enfin pris une décision lourde et courageuse. Ceux qui prétendent que la France a quitté l'échiquier de la diplomatie internationale peuvent se rassurer: notre pays est plus que jamais aux avant-postes de la riposte contre Khadafi.
Quand le drapeau français est porté haut par le peuple lybien au nom de la liberté et de la justice; cela me fait chaud au coeur. Voir ces visages exprimaient leur joie d'avoir été entendus et d'entendre ces merçi la France.
Que ça fait du bien d'entendre de telles paroles.
Notre Président a été tenace dans sa quête d'aide auprès du peuple lybien opprimé; c'est fort ! Nous donnons de l'honneur à ce grand machin comme dirait Le Général.
Dans cet engagement libérateur et déquilibre, on constate que des pays n'étaient pas d'accord avec cette intervention, je suis écoeuré du comportement de l'Allemagne qui était plus volontariste voilà quelques décennies ...
Cette coalition est une preuve que notre monde change vers le progrès et la justice.
Liquidons ces dictateurs par l'économie.
Rédigé par : Thierry | samedi 19 mars 2011 à 12:33